TEMOIGNAGE – Eric Larose, géophysicien à l’Isterre de Grenoble, évoque avec émotion sa descente aux côtés d’Evrard dans un des moulins gigantesques du glacier Edward Bailey, à plus de trente mètres de profondeur.
![Descente en rappel dans la gorge étroite du moulin (Photo Evrard Wendenbaum / Naturevolution)](https://www.lost-worlds.org/wp-content/uploads/2016/08/MAK_0602-450x300.jpg)
(Photo Evrard Wendenbaum / Naturevolution)
« On s’est approchés au plus près de la rivière qui s’enfonce dans le glacier, cachée dans une immense fissure : son bruit était alors monstreux. On sentait que tout vibrait… J’ai ressenti la même sensation que lorsque j’ai vu des éruptions volcaniques ».
![Une contre-plongée vertigineuse (Photo Evrard Wendenbaum / Naturevolution)](https://www.lost-worlds.org/wp-content/uploads/2016/08/Descente-dans-un-moulin-2-450x300.jpg)
(Photo Evrard Wendenbaum / Naturevolution)
« L’intérêt scientifique de ces moulins gigantesques est de pouvoir étudier le débit et la façon dont il circule dans le glacier. En général, on l’étudie à l’automne. Mais là, on mesure toute la force de la nature. »
![Descente de Gaëlle dans un des moulins du glacier Apusinikajik (Photo Evrard Wendenbaum / Naturevolution)](https://www.lost-worlds.org/wp-content/uploads/2016/08/Agnes-descend-dans-un-moulin.jpg)